Utangura.

Levé tôt dans mon parc, il faut dire il y a une gare juste à côté, je pars vers le bekkaku no17… et oui il vient après le 18.

Petit dèj au konbini de l’autre gare, choc ce n’est pas ouvert 24/7, je dois attendre 6h30 pour avoir mon café.

Et puis me voilà en route… attention les poissons du coin sont en manif.

Je tombe à un carrefour sur une pâtisserie… allez je craque et je prend non pas anpaman mais ceci:

Ça ressemblait à un croissant aux abricots, mais en fait c’est plutôt une brioche.

Mais ça passe bien… D’ailleurs dans la pâtisserie ça défile.

Je repars et une heure plus tard j’arrive à destination… Le temple est construit juste à côté d’un immense réservoir construit ou reconstruit par kukaï.

Une petite calligraphie et je repars. Je recroise Riisa près de la pâtisserie et je reviens à kotohira.

Il est l’heure de déjeuner, et hop Udon et tempura.

Dans le restaurant où travaille ce jeune homme qui m’à mené jusqu’au restaurant… que je cherchais. 🙂

Des idées de recettes ? et voilà !

Bon je n’ai pas avancé vite ce matin, il va falloir s’y mettre.

No76 avec son petit bonhomme doré.

Et plus loin no77.

no78 est plus loin, je passe donc…

Pas loin de chantiers navals.

Et puis je tombe sur un festival au pied de la colline du château de Marugame. Golden week il y a beaucoup de festivals, j’avais vu des stands en préparation il y a deux jours ailleurs, mais aujourd’hui c’est ici. Je m’attarde un peu.

Je dirais que 2/3 des stands c’est pour de la nourriture. D’ailleurs je prends fe takoyakis.

Des groupes de musique et aussi ceci.

Je n’ai pas essayé. 😉

Et me voilà reparti vers no78.

Et je tourne un peu trop tôt, du coup dans ce temple il ne semble y avoir qu’une jeune femme.

Mais 300m plus loin c’est bien le bon temple.

Et près du Daishidō, un mystérieux escalier descend sous terre…

Des milliers de petites statuettes de bouddha sont alignées en gradins… Chaque statuette représente une personne défunte(?). Il reste d’ailleurs de la place pour d’autres statuettes.

Et un autel se trouve de l’autre côté de ce couloir carré.

Mon logement de ce soir est tout près et très connu. Je demande dans la rue à 4 dames qui m’indiquent la maison.

Me voici au Zenkonyadō Utangura. Je n’ai pas réservé mais il y a de la place. Et la dame me propose rapidement de prendre ma douche/bain.

Et alors que les autres Henro, tous japonais, arrivent, une des dames rencontrées dans la rue arrive (mon hôtesse à gauche, et mon intervieweuse à droite).

Elle fait partie de l’association franco-japonaise du coin et souhaite faire un article sur un français faisant le Henro.

Ça doit durer peut-être 25 minutes, y compris photos, pendant que d’autres Henro arrivent.

Et bien sûr elle n’est pas venu les mains vides… Saké de riz noir, ainsi qu’une des petites coupe de saké que son grand-père, dont c’était le métier, faisait. Les petits sacs ont été fait par sa mère, et le saké ce sont des amis.

Et ensuite forcément je partage le saké avec les autres Henro. En t-shirt noir une nonne de koya-san, à côté un conseiller municipal de Saijo City où j’étais il y a quelques jours, et 2 retraités de Hiroshima.

Puis je vais faire mes courses pour dîner avec les autres, toujours dans cette pièce.

Et à 21h notre hôtesse nous indique qu’il est temps d’aller au lit. Il y a une pièce pour les hommes et une pour les femmes… Nous n’aurons pas besoin de l’étage.

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